« J’ai trouvé votre oiseau » selon la légende, c’est par ces mots inscrits sur un télégramme que Charles Lindbergh avertit Juan Tripp, directeur de la Pan Am, d’avoir trouvé l’appareil idéal permettant le développement du secteur d’aviation d’affaires de la compagnie. La Pan Am passe rapidement commande de 40 avions plus une option sur 120 exemplaires supplémentaires. 2 conditions sont imposées pour l’obtention du marché : la première, l’avion doit être motorisé par des réacteurs double flux General Electric CF700, la seconde, le nom de l’appareil nommé « Mystère 20 » doit être américanisé. Ce qui fut fait, pour la motorisation et pour le nom. Rebaptisé Fan Jet Falcon, le patronyme de Falcon fut adopté définitivement par Dassault pour la lignée de ses « bizjets ». Aujourd’hui encore les oiseaux d’affaires de l’avionneur français brillent ardemment sur le marché de l’aviation d’affaires.
jeudi 24 octobre 2019
Dassault "Falcon 20"
« J’ai trouvé votre oiseau » selon la légende, c’est par ces mots inscrits sur un télégramme que Charles Lindbergh avertit Juan Tripp, directeur de la Pan Am, d’avoir trouvé l’appareil idéal permettant le développement du secteur d’aviation d’affaires de la compagnie. La Pan Am passe rapidement commande de 40 avions plus une option sur 120 exemplaires supplémentaires. 2 conditions sont imposées pour l’obtention du marché : la première, l’avion doit être motorisé par des réacteurs double flux General Electric CF700, la seconde, le nom de l’appareil nommé « Mystère 20 » doit être américanisé. Ce qui fut fait, pour la motorisation et pour le nom. Rebaptisé Fan Jet Falcon, le patronyme de Falcon fut adopté définitivement par Dassault pour la lignée de ses « bizjets ». Aujourd’hui encore les oiseaux d’affaires de l’avionneur français brillent ardemment sur le marché de l’aviation d’affaires.
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