Le Yak-3 était un petit chasseur nerveux, agile et rapide. Il était redoutable en combat aérien grâce à sa maniabilité exceptionnelle, celle-ci était due à son rapport poids/puissance avantageux, surtout entre 2500 et 3000 mètres, sur ce terrain il était et est d’ailleurs considéré comme le meilleur avion de combat de la deuxième guerre mondiale, alliés compris. Pour preuve, l’état major de la Lutfwaffe avait donné pour consigne à ses pilotes de ne jamais engager le Yak-3. Un équipement rudimentaire, d’une piètre finition , d’une structure éphémère, cet avion avait tendance à perdre son entoilage sous fort facteur de charge : son principale défaut. Le Yak-3 équipa la célèbre unité « Normandie-Niemen ».
vendredi 22 novembre 2019
Yakovlev "Yak-3"
Le Yak-3 était un petit chasseur nerveux, agile et rapide. Il était redoutable en combat aérien grâce à sa maniabilité exceptionnelle, celle-ci était due à son rapport poids/puissance avantageux, surtout entre 2500 et 3000 mètres, sur ce terrain il était et est d’ailleurs considéré comme le meilleur avion de combat de la deuxième guerre mondiale, alliés compris. Pour preuve, l’état major de la Lutfwaffe avait donné pour consigne à ses pilotes de ne jamais engager le Yak-3. Un équipement rudimentaire, d’une piètre finition , d’une structure éphémère, cet avion avait tendance à perdre son entoilage sous fort facteur de charge : son principale défaut. Le Yak-3 équipa la célèbre unité « Normandie-Niemen ».
mardi 19 novembre 2019
Mitsubishi J2M "Raiden"
Le J2M Raiden , appareil terrestre de la Marine Impériale était un avion massif , rapide et ayant un fort taux de montée, il était exceptionnellement stable mais peu maniable à grande vitesse, son armement et ses performances le plaçait en tête des intercepteurs de la marine japonaise. Il fut le seul chasseur japonais à pouvoir intercepter à haute altitude les bombardiers B-29.
dimanche 17 novembre 2019
Bell P-39 "Airacobra"
Le Bell P-39 Airacobra était loin d’être le meilleur chasseur de la production américaine. Son groupe propulseur situé derrière le cockpit associé à un arbre de transmission de plus de 3 mètres, imposait au pilote un massage vigoureux durant tout le vol. Le moteur Allison, peu fiable, beaucoup ont grillés en plein vol, était dénué de compresseur le condamnant à de médiocres performances à haute altitude. Son autonomie était faible sans l’ajout d’un réservoir ventral supplémentaire. Son principal défaut : le mauvais centrage de l’appareil, au fur et à mesure que les soutes à munitions du nez se vidaient, le centre de gravité se déplaçait vers l’arrière, à la moindre erreur de pilotage, l’avion partait en vrille à plat, ce phénomène interdisait toute voltige quand le zinc était déchargé. Une qualité? Son armement puissant mais il n’avait pas une grande portée obligeant le pilote à se rapprocher au plus près la cible.